Ewincher en France, et ailleurs !

George Meffre est l’un des utilisateurs de la manivelle électrique de winch. Il a connu Ewincher grâce à l’un de ses amis qui l’a invité à bord lors d’une escale à Brest.

Il navigue sur Antarctic, un voilier dont le mât s’élève à 25 mètres de haut. Il faut de longues minutes pour établir la grand-voile, surtout lorsqu’il navigue en solitaire. A 73 ans, et même avec une santé parfaite, comme il le dit lui-même, “c’est une gymnastique éprouvante” !

Son bateau est équipé, pour les écoute de génois, de winchs quatre vitesses (de type coffee grinder). Pourtant, George Meffre a choisi Ewincher pour les autres winchs du voilier. Une solution qu’il considère comme “versatile” et “bien plus simple qu’une motorisation électrique ou hydraulique”.

Il utilise notamment la manivelle électrique sur les winchs de mat, pour les drisses et relever la dérive. La seconde utilisation est sur les winchs de bosses d’enrouleurs. George considère que la vitesse procurée par l’assistance permet d’enrouler encore plus rapidement et d’échapper au fasseyage du foc pendant la manœuvre.

George Meffre considère Ewincher comme un véritable “complément pour les winches du bateau qui deviennent plus performants”. Bien qu’il considère l’achat d’Ewincher comme un investissement important, le navigateur conseille la manivelle sans hésitation.

Georges Meffre - France

Ewincher aux USA

David Knecht est le second du responsable du Thames Yacht Club dans le Connecticut (USA). Il a découvert Ewincher via une campagne publicitaire dans Sail Magazine. A l’approche de ses 70 ans, il ressent le besoin "d'une assistance pour wincher quand les manœuvres deviennent très sollicitantes".

Et pourtant, David est un marin expérimenté. Il avait l'habitude d'affréter un 50 pieds dans les Îles Vierges Britanniques. Il connaît les efforts demandés pour manœuvrer un grand bateau (il était le principal marin à bord et était donc la plupart du temps seul à manoeuvrer).

Pour lui, Ewincher est comparable aux winchs électriques : "Je peux naviguer dans n'importe quelle condition et sans m'épuiser." Selon David, Ewincher est une solution beaucoup moins coûteuse et qui ne nécessite pas l'ajout de câbles et de batteries supplémentaires au bateau (contrairement à l’installation d’un winch électrique!).

Il a acheté Ewincher car il participe régulièrement à des courses, en solitaire, à la barre de son monocoque C&C 34+. Il explique pourquoi il a choisi Ewincher comme nouveau coéquipier : « Quand je vire de bord, si je ne suis pas parfaitement dans les temps lors de la manœuvre, je dois border le génois à une distance significative de la position au près. Plus ça souffle fort, plus ça devient difficile et à la fin d'une course, je suis souvent épuisé.”

Son intention première était d'utiliser Ewincher comme winch de génois électrique pour les vents forts. Mais, plus il navigue avec la manivelle électrique, plus il trouve d'autres usages à son Ewincher : "J'utilise la manivelle pour monter la grand-voile et obtenir une bonne tension dans les derniers centimètres. Il est plus facile d'appuyer sur le bouton et de regarder ce qui se passe en haut du mât que de wincher et surveiller ce que l’on fait dans l’effort.”

Et il n’est pas le seul à apprécier la manivelle électrique : “Lorsque ma femme navigue avec moi, elle l'utilise également pour wincher.”

David conseille Ewincher aux autres plaisanciers car il considère que la manivelle électrique de winch permet de "prolonger la capacité de naviguer”.

David Knecht - Rear Commodore du Thames Yacht Club (États-Unis)